La photographie animalière, c’est en général 90 % de transpiration et 10 % d’inspiration. En optant pour la photo sauvage, l’intéressé transpire beaucoup en raison de la déontologie de cette pratique qui demande une certaine exigence. Mais dans tous les cas, cette branche peut paraître celle qui crée de plus de sensation forte. Zoom sur la photographie animalière.
La chasse aux clichés animaliers
Avec la photographie de portrait, d’architecture et de paysage, le sujet peut renfermer diverses facettes. D’une part, le sujet a le choix de prendre une posture figée et, d’autre part, il peut être fixe. Avec la photo reportage et la photographie sportive, le sujet est mobile, mais le photographe est en mesure de savoir des destinations nature à l’état sauvage.
En ce qui concerne la photographie animalière, cette pratique parait un peu délicate, car le sujet peut fuir, attaquer, se tapir, voler, plonger, nager, sautiller, etc. De plus, le photographe aurait du mal à bien situer l’endroit précis auquel sa cible va se poser.
L’utilisation des appareils performants
La photographie animalière demande la mise en œuvre des outils adéquats non seulement aux destinations nature à l’état sauvage, mais surtout au type de sujet. Dans ce cas, un appareil reflex équipé d’une motorisation permet la prise en vue en rafale avec une cadence très remarquable à partir de six photos par seconde.
Il faut également un capteur à haute sensibilité et un téléobjectif pour la prise d’une distance de sécurité, et pour photographier un animal au loin. Le photographe aurait besoin d’une ouverture de diaphragme plus grande et un objectif à grande distance focale.
En outre, le choix du système ultra sile drive (USB) est important pour la mise au point ultra silencieuse, très rapide et automatique. De même, la vibration compensation ou le stabilisateur indique un appareil nécessaire pour la prise à main levée. Enfin, les lentilles XLD et LD permettent de diminuer les aberrations chromatiques.
La connaissance des habitudes des animaux
Avant de photographier les animaux, il faut préalablement connaître la vie de ceux-ci et leur milieu. Cela implique la connaissance de leur terrain, de leur point d’eau, de leur nid, de leur tanière ainsi que d’autres destinations nature à l’état sauvage fréquentées par ces animaux.
Il faut également adopter une méthode d’approche adéquate pour se faire discret. Dans ce cas, il est interdit de déranger ou effrayer les animaux de ne pas toucher les bébés animaux.